Mangez moi, mangez moi !

Souvenez vous de la chanson culte Mangez moi mangez moi en 1993…

Nous avons le plaisir de vous proposer une interview de la chanteuse Nathalie alias Billy Ze Kick !

Elle nous présente son nouveau titre TOMAWOK , il s’agit d’une reprise de la chanson célèbre « Rien n’a changé »des Poppys.

De l’émotion et de bons souvenirs en exclusivité pour cette interview et une grande satisfaction de voir que le style Billy Ze Kick sonne encore et encore.

15 ans d’antenne kitsch

Pour nos 15 ans de radio autour de la chanson et de l’humour, place à nos fidèles invités Kicca et Oscar Marchioni.

Par une belle soirée d’été sur la dalle des Olympiades et en direct du restaurant parisien le nouvô Cosmos. Kicca et Oscar nous ont interprété leur titre « Stop and Go »!

Ces deux musiciens italiens ont sans aucun doute quelque chose en plus : charme et pep’s!nnn

Interview en famille…avec le duo indie-folk français KOKOPELI!

Deux cousines, fans à l’origine du groupe américain de folk psychédélique Cocorosie composé de deux sœurs , créent un duo dont le nom invoque cette inspiration musicale ainsi que la divinité de la musique chez les peuples natifs : KOKOPELI est né, avec Carla Siméon au chant, à la guitare et au n’goni, et Julie Trouvé, au chant et à la basse. Leurs compositions (toujours écrites à quatre mains) se définissent par un syncrétisme de trip hop, folk, blues, world music qui arpente l’univers de la pop music, en agglomérant au niveau thématique l’expérience personnelle de l’intime (comme dans leur titre « Oiseaux moqueurs ») et la fiction.

Ce lien familial musical a inspiré le titre de leur premier EP, « Family Affair ». Carla vous fera découvrir l’univers indie-folk du groupe lors de cette interview qu’elle nous a accordé , dans laquelle vous pourrez entendre des extraits de deux chansons : « Boston » et le sus-cité « Oiseaux moqueurs », bonne introduction à l’univers de Kokopeli .

Et n’oubliez pas que vous pouvez écouter ou réécouter toutes nos émissions ici

La luz… plutôt que la loose cet été !

En cet été que nous éspérons ensoleillé pour vous, gardez la lumière en vous comme à l’extérieur avec l’un des lives marquants de notre saison 16 : celui offert par la chanteuse franco-portugaise et brésilienne d’adoption Elsinha ! Vous verrez en effet la lumière avec ce titre « Vera luz » (vois la lumière donc) à travers vos oreilles !

Ce titre est donc chanté en live avec sa douce vois mais aussi celle, moins fluide, de l’équipe de Kitsch et Net qui tente timidement de l’accompagner aux choeurs… Prof de danse et de guitare et donc aussi… de chantn elle a en effet voulu nous faire pousser la chansonnette ! Nous vous laissons juger du résultât de notre contribution à cette jolie performance…

En tant que piètres choristes, nous mériterions bien de figurer dans la rubrique culte de l’émission, le HARDkitsch, présente depuis 16 saisons, que vous pouvez re-savourer en intégralité ici !

Plein de bonnes ondes pour « R-aime »…

Triste période décidément avec le départ de René-Marc Guedj, producteur du 1er concert dont notre émission fut partenaire avec Adonis et Philipépé ; créateur avec Laurent Violet de Kandidator, la scène ouverte (et de nombreuses autres les décennies précédentes) ; pygmalion incubateur et pourvoyeur de nombreux talents que nous avons accueillis à notre micro (Leo Barginal, Zazon, Anaïs Petit, Max Bird, Hattab et Bonnefont, Rhim, Gaëtan Matis, Aurélie Bouquet…).

Mais aussi comédien hors pair : ne chantant pas, il n’est jamais venu à notre micro mais a effectué sur nos ondes une intervention téléphonique légendaire… Un canular mémorable fait à Zazon, elle-même spécialiste du genre… Une petite blague qui ne devait durer que quelques secondes mais qui s’est transformé en une longue séquence d’angoisse pour notre invitée, autour d’un certain PPDA… Grâce au talent d’inprovisation de René-Marc !

Grand amateur de chansons humoristiques, nous avions comme projet de monter ensemble un festival dédié à cette forme d’expression musicale parfoids subrile mais souvent bidonnante ! Menant sa vie avec panache jusqu’au bout, il a raconté quotidiennement son dernier combat sur sa chaine youtube… Un journal de bord sans doute apaisant pour lui… mais surtout inspirant et salutaire pour nous !

Bon voyage « R-Aime » et bonnes programmations à venir avec tes idoles de l’humour…

Clarabelle avec Odeurs et les Excellents, que c’était bon !

Nous poursuivons dans les hommages pour notre premier live d’été. Nous tenions en effet à saluer la mémoire de Marion alias Clarabelle Cockenpotz ou Clarabelle… tout court, chanteuse et danseuse icônique du groupe Odeurs disparue en septembre dernier. De l' »Ode au printemps » au diabolique « Que c’est bon », ses performances vocales et scéniques ont apporté un lyrique et une sensualité complémentaires et bienvenue à la folie surréaliste du combo.

C’est en tant que choriste d’une coutre parodie d' »Hallelujah » de Leonard Cohen, interprétée à la voix et… au ukuele dans notre émission fin 2018, que nous la retrouvons dans cet extrait. « Ah les nouilles » par Les Excellents, autre groupe délirant de Ramon Pipin (que nous saluons amicalement au passage), avec Camille Saféris pour complétrer le trio ! Un groupe qu’elle et Ramon ont longremps accueilli dans leur cuisine pour des vidéos acoustiques qui ont fair un grand buzz !

Clarabelle a sans doute intégré là-haut une nouvelle formation d’Odeurs menée par Rita Brantalou et ses camarades Dominique Esno et Costric 1er qui nous manquent également !

Jean Sarrus, Charlot forever

« Y’en avait là d’dans »…. Après Gilles Dreu la semaine dernière, nous nous devions de rendre hommage à une autre « vieille fripouille », qui était également intervenue dans l’émission en compagnie d’Alain Turban : l’icônique Jean Sarrus, véritable gardien du temple du mythique groupe Les Charlots.

Il nous avait tout d’abord fait l’honneur de sa présence avec ses camarades Jean-Guy Fechner et Richard Bonnot, en véritable trait d’union avec le trio de notre enfance. Vous pouvez (ré) découvrir cette émission mémorable ici :

Deux années plus tard, l’intrervention téléphonique ci-dessous est riche en anecdotes, en réflexions drôlatiques et en confidences sur le temps qui passet et sur son admiration sur son fringant camarade octigénanre Gilles : un âge qu’il n’était pas loin d’atteindre. Jean a en tout cas grandement contribué, par son humour, sa générosité… et son amour pour la musique en général, à inscrire ces moments passés ensemble au micro au panthéon de nos 15 années d’émissions, tout simplement inoubliables.

Il n’y eût ensuite ni nouveaux passages à l’antenne ni spectacles organisés ensemble comme il en avait été question avec ses camarades et lui-même, mais ses « Beaux nénés » échangés les années suivantes en guise de voeux de janvier manqueront cruellement.

Merci pour tout Jeannot et bon voyage… Nous te promettons de conserver notre bonne humeur comme tu nous l’avais demandé !

Gilles Dreu a monté l’escalier…

Serviteur élégant et discret de la chanson française, c’est avec cette même discrétion élégante que Gilles Dreu a tiré sa révérence en tout début d’année, à 90 printemps… L’inoubliable interprête d' »Alouette » ou encore « Descendez l’escalier » était intervenu dans notre émission en 2018 pour évoquer, en compagnie d’Alain Turban, le trio « Les vieiles fripouilles« , version jubilatoire des « Vieilles canailles » qu’il ont formé avec le Charlot Jean Sarrus, à sui nous rendrons hommage très prochainement.

Amoureux de la chanson lmais aussi, tout comme ses deux camarades, de la nature et de l’Ardèche, dans laquelle ils aimaient jouer ert ses retrouver, le doyen de la troupe a montré son humour, sa modestie et son autorédision à l’occasion de ces quelques minutes d’échanges chaleureux dans laquelle il a même révélé, enfant durant l’occupation, avoir été obligé de chanter une certaine chanson… Un clin d’oeil du destin puisque sa disparition a été eclipsée, le jour même, par celle d’un certain homme politique…

Le rendez-vous que nous avions pris ensemble n’a malheureusement jamais été concrétisé mais nous tenions à mettre un dernier coup de projecteur sur ce sympathique et bienveillant artiste qui a pris sn envol tel l’alouette qu’il a si bien chantée et que nous n’oublierons pas.

Bon voyage, « Gilou » !

Une bonne résolution pour 2025 : lacher prise !

Et pour ce faire rien de tel que la présence et la voix de la chanteuse Cat Loris !

Son univers hypersensible , son franc parler ( ex : ceux qui médisent derrière mon dos mon cul les contemple de Piccabia) et sa fantaisie sont toujours au rendez vous pour notre émission de radio.

Nous avons eu l’occasion de parler de sa version de Brassens : La ronde des jurons et de son joli clip et de l’album hypersensible qui suit son bonhomme de chemin.

Mais pour l’heure elle nous interprète : Lacher prise en live et avec une telle generosité qu’on ne peut qu’obtemperer 😉

Le groupe Kaori nous chante en live leur « belle îlienne » !

Le duo calédonien KAORI est composé d’ Alexis DIAWARI. à la guitare, et de Thierry FOLCHER, aux chants et à la composition. Le nom du groupe provient de l’arbre qui peuple les forêts calédoniennes depuis plus de mille ans.

Leur histoire est particulière : Thierry nous a appris qu’il était descendant de bagnard, et Alexis est issu d’une tribu kanak. Leur répertoire s’étend bien au-delà des rivages de la musique du folklore calédonien pour intégrer le blues, la soul, et le reggae.

Leur nouvel album, le troisième de leur discographie, s’intitule « Dans l’attente d’un signe ». Opus de onze titres qui véhicule un message d’espoir et de fraternité. On retiendra parmi les morceaux de bravoure de l’album l’hommage à leur terre avec « Le ciel de mes rêves » ou encore l’appel à poursuivre le projet du vivre-ensemble dans « Se tendre la main »

C’est un hommage à la beauté des femmes des îles que Alexis, à la guitare, et Thierry, à la voix ont interprété en live dans notre émission. Hymne nostalgique des amours disparues, en Nouvelle-Calédonie ou ailleurs, voici dans une version acoustique « Ma belle îlienne » :