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La première serveuse automate de Monopolis

est toujours Marie-Jeanne mais sa première interprète était la talentueuse Fabienne Thibeault ! Si vous êtes fan de cet opéra rock incroyable, qui traverse le temps et les générations, vous savez alors le privilège que nous avons eu d’avoir en live et en ligne Fabienne Thibeault !

Nous l’avons invitée afin d’avoir son impression sur cette nouvelle version de Starmania, où finalement les codes et les messages n’ont pas changé depuis sa première fois le 10 avril 1979 ! Le monde est toujours aussi stone, à vous d’en jugez et à vous d’écouter les quelques échanges avec Fabienne Thibeault dans notre émission, en compagnie de Renaud Hantson à l’occasion de notre 400ème émission hommage à Michel Berger !

Michel Berger nous guide… pour notre 400ème émission !

Plutôt que les moutons, nous vous invitons joyeusement à compter…les émissions cett semaine dans notre émission ! Mais nous célébrerons néanmoins le plus musical des bergers : le talentueux Michel Berger, en compagnie de deux voix incontournable de ses deux premiers Starmania : Fabienne Thibeault et Renaud Hantson !

Ils donneront bien sûr leurs impressions sur la toute nouvelle version de cet opéra rock culte et ce dernier reviendra avec nous sur son parcours et son actualité (avec entre autre ses groupes Satan Jokers et Furious Zoo). Mais ça n’est pas tout : il vous fera également partager ses plus fameuses reprises lives de Michel Berger, ainsi que son tout nouveau titre « Dépendant affectif », qu’il offrira en exclusivité à vos oreilles !

Nous entendrons également, bien sûr la voix de Michel Berger, avec le titre rare de 1980 « C’est difficile d’être un homme aussi », mais aussi, dans la VideoKITSCH, l’inoubliable « Paradis blanc ». Une chanson qui sort en 1990 et marque le retour du chanteur après 5 ans d’absence. Une absence dû aux disparitions de ses amis Balavoine et Coluche ainsi que de la grave maladie de sa fille atteinte de la mucoviscidose. Pendant cette pause, Michel Berger voyage beaucoup, notamment en Antarctique et il se rend compte, déjà, que le monde étouffe, que le monde change en une extrême pollution, une extrême consommation.

Il sentait l’influence des mauvaises choses qui commençaient à se produire dans notre monde. Une vraie conscience écologique. En quelques heures, il écrit « le paradis blanc ». Une chanson qui défend notre planète pour un artiste engagé (on entend de vraies baleines au début de la chanson). La chanson rencontra un succès après sa disparition. Celle ci est un témoignage qui restera au Panthéon de la chanson Française !

En résumé, ça ne « tiendrait pas debout » de ne pas écouter notre 400ème, qui s’annonce inoubliable, toute cette semaine !